PLAN IGN
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Le circuit vous propose un défi physique de taille. Avec de beaux passages en d+ à la pelle. Les efforts seront récompensés par de nombreux points de vue et de paysages forestiers. Vous ne manquerez pas d'être séduit par l'omniprésence de l'eau dans ce décor au combien dépaysant. Fontaines, anciens lavoirs, ruisseaux, petit cours d'eau, et rivières y sont légion. "La balade des ducs" est le must pour découvrir la richesse de la campagne Sud-Meusienne. Typiquement le circuit sur lequel on souhaiterait pédaler indéfiniment. Trêve de parlotte, en route pour les sommets !
Eglise avec des éléments de fortification : 3 archères dans le mur surélevé de la nef et canonnière sur le chevet.
L'âge de ce tilleul creux est estimé à 300 voir 400 ans. Selon la tradition locale il aurait été planté sous Henri IV. Cette hypothèse semble probable puisque Sully a alors offert des arbres aux villes demeurées fidèles au roi lors de sa lutte contre les ligueurs catholiques pour la reconquête du royaume et du trône de France.
Le pressoir seigneurial de Combles-en-Barrois fut acquis en 1970 par l'Office de Tourisme de Bar-le-Duc et installé en 1977 rue des Ducs. Il est classé Monument Historique. Il constitue avec le pressoir abbatial de Beaulieu un témoin essentiel d'une riche tradition viticole dans la Meuse. Pressoir à levier caractéristique du 15ème siècle, rappelant la production jusqu'au début du 20ème siècle du Pineau de Bar.
L'église Saint-Etienne de style gothique flamboyant nuancé de quelques détails Renaissance, renferme un riche mobilier et plusieurs oeuvres d’art dont deux pièces du sculpteur Ligier Richier : le Transi, chef d’oeuvre majeur de la sculpture de la Renaissance et le Christ et les deux larrons.
Devant le château des ducs de Bar, une vaste esplanade dégagée à partir de 1794 lors de la démolition de la collégiale Saint-Maxe, offre de beaux points de vue sur la ville basse, le collège Gilles de Trèves et les vestiges des fortifications du château (grande porte romane). Fermé actuellement pour travaux.
La Tour de l'Horloge est une ancienne tour fortifiée devenue tour de l'horloge.
Construite au Moyen Âge (12ème siècle), elle est l'un des rares vestiges des fortifications du château de la Ville Haute. Avec ses deux cadrans donnant l'heure, elle est devenue l'un des emblèmes de la ville.
À sa construction au Moyen Âge, la tour est circulaire et avant-gardiste pour l'époque. Ses meurtrières et ses embrasures permettent de surveiller la campagne environnante et d’envoyer des projectiles à l’ennemi. Elle est alors l'une des six tours de l'enceinte du château-fort de la Ville Haute.
En 1381, le duc de Bar Robert I y installe une horloge orientée vers les habitants du château. La tour prend alors de l'importance dans la vie des barisiens, les prévenant des attaques ennemies, sonnant le couvre-feu, ou accompagnant les cérémonies et événements. Elle permet également, grâce à un code connu des habitants, d'indiquer la localisation du feu dans la ville en cas d'incendie.
La partie supérieure de la tour est modifiée plusieurs fois à la suite des incendies de 1500 et 1639. À cause de sa position élevée, elle est frappée par la foudre à plusieurs reprises, et à chaque fois voit ses cloches fondre.
En 1608, Jean Vincent, président de la Chambre des comptes du Barrois, installe un second cadran orienté vers la Ville Basse. En 1752, un troisième cadran est installé pour les habitants de la Ville Haute.
En 1670, le roi de France Louis XIV ordonne le démantèlement des fortifications du château et de la ville. La Tour de l'Horloge est l'un des rares édifices à être épargnés, grâce à l'utilité de son cadran, mais se retrouve quand même éventrée. Elle perd alors son aspect circulaire ainsi que son cadran orienté vers le château.
La toiture est de nouveau restaurée après un sinistre survenu en 1940.
La Tour de l'Horloge et le reste des remparts situés au-dessous de cette tour sont classés monuments historiques le 10 septembre 1941.
En 1994, le cadran orienté vers la ville basse est restauré selon la facture d’origine.